Sans appeler explicitement à participer à la Marche pour la vie, le Conseil Permanent de la CEF vient (enfin) de publier un communiqué indigné sur la réforme de l’avortement, appelé par la gouvernement à devenir un droit au mépris de la vie des enfants à naître :
“Réuni le 15 janvier 2014, le Conseil Permanent a déploré la transformation profonde de la législation sur l’avortement que provoquera, s’il est voté, le remplacement des mots évoquant « la situation de détresse de la femme » par les mots « qui ne veut pas poursuivre une grossesse ». Cette suppression de la mention des conditions de détresse est inacceptable. Elle élude toute l’expression de compassion d’une société et sa volonté d’y répondre.
Pourquoi rendre désuètes des précautions prises, jusqu’à présent, par le législateur ? Comme l’écrit le Père Laurent Stalla-Bourdillon, Directeur du Service Pastoral d’Etudes Politiques (SPEP) « un droit exigible à l’avortement, même restreint par un délai légal, va créer un climat préjudiciable aux femmes les plus fragiles, devant l’irréparable ».
Dans son message de Noël, Mgr Pontier, Président de la Conférence des évêques de France, disait : « Je pense à ce projet de modification de la loi sur l’interruption volontaire de grossesse qui, loin de permettre aux femmes en détresse d’être laissées moins seules devant leur responsabilité face à la vie naissante, sont quasiment incitées à ne poser aucune question quant à l’élimination de l’être qu’elles portent en leur chair ».
Rappelons qu’en novembre 2013, à Lourdes, les évêques ont entrepris un travail sur le « phénomène social de l’avortement et l’éducation affective des jeunes ».
Sur ce sujet douloureux et sensible, Mgr Pontier avait résumé la réflexion en disant:
« Nous ne pouvons pas faire comme si nous n’étions pas auditeurs, témoins des souffrances multiformes de femmes ayant connu un avortement et qu’elles n’expriment parfois que longtemps après. Ce sont des pages douloureuses de vies humaines qui nous sont confiées. Entendre les cris de ceux et celles qui souffrent est une de nos premières missions ».
De nombreux écoutants et soignants rejoignent l’avis des évêques : « Des médecins, des infirmières, des psychologues, de nombreux prêtres, des membres d’associations confirment ce même constat », nous dit Mgr Pontier. « Avorter n’est pas banal, avorter ne laisse pas indemne, avorter n’élimine pas qu’un amas de cellules. La femme enceinte sait bien qu’elle porte une vie humaine en son commencement. Il s’agit bien de cela. Aucune d’entre elles ne devrait vivre ces moments dans la solitude, la précipitation ou les pressions de toutes sortes ».
Les évêques ont aussi un ministère d’encouragement de ceux qui écoutent cette détresse. Il reste énormément de chemin à faire pour qu’une culture de la vie l’emporte, notamment dans le domaine éducatif.
« Aussi voulons-nous, disent-ils, nous employer à contribuer à une meilleure éducation affective des jeunes qui leur fasse percevoir la grandeur du corps humain et celle d’une vie affective responsable, située dans une relation pleine de respect pour la personne de l’autre, d’engagement à son égard, de tendresse, d’amour et d’ouverture au don de la vie. Nous invitons tous les responsables éducatifs en milieu scolaire, universitaire, au sein des mouvements de jeunes, tous ceux qui apportent le concours de leurs réflexions et de leurs recherches, à se mobiliser pour cette tâche essentielle et nécessaire. »
Evoquant le climat social et sociétal plus général, Mgr Pontier disait : « Ne pas faire place à l’enfant à naître, ne pas accompagner la vie jusqu’au bout, ne pas offrir un avenir professionnel à des milliers de jeunes et adultes, ne pas regarder la vie à partir des plus fragiles, tout cela est un déni de fraternité et d’humanité ».
De l’embryon naissant, au souffle ultime du dernier jour, notre vie est plus grande que nous-mêmes !
… et si Mgr. Pontier disait en premier que tuer un enfant à naître est un crime, un péché mortel.
Combien de millions de femmes ne savent pas que ce grave péché mène en enfer, mais pas inexorablement s’ il y a regret, demande de pardon, bien mieux, réception du sacrement de pénitence.
Ne pas demander pardon, ne pas le savoir est une ignorance coupable. Partout dans le monde, Jésus et Marie, versent des larmes de sang sur les statues, les images etc… tant il y a d’âmes qui vont en enfer…
Evêques, prêtres, laïcs, catéchisez votre entourage ignorant le catéchisme d’autrefois, le CEC, les lois de toujours et le commandement : “Tu ne tueras pas”.
Où en sommes-nous arrivés? Sodome et Gomorrhe étaient des enfants de choeur par rapport à ce qui se pratique actuellement et qui dépasse ce qui se pratiquait dans les camps nazis… Si vous saviez tout ce que je sais !!!
Demandons pardon pour ceux qui ne savent pas le faire.
Tout devra être réparé… l’Apocalypse, c’est maintenant…
Oui en 2014 nous passons des épreuves à l’EPREUVE !
Quand on sait des choses susceptibles de sauver l’humanité on les dit, sinon on est complice du malin ou bien affidé comme les initiés qui soit-disant savent ce qu’est l’humain, pour son plus grand bien, mais en interdisent l’accès aux profanes et même ne le révèlent que de grade en grade à l’intérieur de leur organisation.
La première chose à enseigner aux gens, avant même l’édifice dogmatique chrétien, c’est ce que tous les être humains savaient jusque avant le “siècle des lumières” l’Homme n’est pas un animal, l’âme est surnaturelle mais existe réellement, Dieu existe. Et aussi leur démontrer, comme Kant – ancien protestant devenu athée – y est arrivé, que la “sagesse” humaine qui dirige le monde de plus en plus et “avec un sceptre de fer” est un immense malheur par rapport à celle de Dieu. Les malédictions du Deutéronome dites par Moïse face au peuple juif il y a 3200 ans sont totalement applicables aujourd’hui et aux chrétiens de toutes églises et aux athées.