Dans l’exhortation apostolique diffusée aujourd’hui par le Vatican, Evangelii Gaudium, le pape François rappelle le rôle des clercs, prêtres et évêques, et dénonce leur tentation à tomber dans le cléricalisme :
“Les laïcs sont simplement l’immense majorité du peuple de Dieu. À leur service, il y a une minorité : les ministres ordonnés. La conscience de l’identité et de la mission du laïc dans l’Église s’est accrue. Nous disposons d’un laïcat nombreux, bien qu’insuffisant, avec un sens communautaire bien enraciné et une grande fidélité à l’engagement de la charité, de la catéchèse, de la célébration de la foi. Mais la prise de conscience de cette responsabilité de laïc qui naît du Baptême et de la Confirmation ne se manifeste pas de la même façon chez tous. Dans certains cas parce qu’ils ne sont pas formés pour assumer des responsabilités importantes, dans d’autres cas pour n’avoir pas trouvé d’espaces dans leurs Églises particulières afin de pouvoir s’exprimer et agir, à cause d’un cléricalisme excessif qui les maintient en marge des décisions. Aussi, même si on note une plus grande participation de beaucoup aux ministères laïcs, cet engagement ne se reflète pas dans la pénétration des valeurs chrétiennes dans le monde social, politique et économique. Il se limite bien des fois à des tâches internes à l’Église sans un réel engagement pour la mise en œuvre de l’Évangile en vue de la transformation de la société. La formation des laïcs et l’évangélisation des catégories professionnelles et intellectuelles représentent un défi pastoral important.”
Ailleurs, le pape dénonce la mondanité spirituelle, qui assèche toute évangélisation :
“Cette obscure mondanité se manifeste par de nombreuses attitudes apparemment opposées mais avec la même prétention de “dominer l’espace de l’Église”. Dans certaines d’entre elles on note un soin ostentatoire de la liturgie, de la doctrine ou du prestige de l’Église, mais sans que la réelle insertion de l’Évangile dans le Peuple de Dieu et dans les besoins concrets de l’histoire ne les préoccupe. De cette façon la vie de l’Église se transforme en une pièce de musée, ou devient la propriété d’un petit nombre. Dans d’autres, la même mondanité spirituelle se cache derrière la fascination de pouvoir montrer des conquêtes sociales et politiques, ou dans une vaine gloire liée à la gestion d’affaires pratiques, ou dans une attraction vers les dynamiques d’auto-estime et de réalisation autoréférentielle. Elle peut aussi se traduire par diverses manières de se montrer soi-même engagé dans une intense vie sociale, remplie de voyages, de réunions, de dîners, de réceptions. Ou bien elle s’exerce par un fonctionnalisme de manager, chargé de statistiques, de planifications, d’évaluations, où le principal bénéficiaire n’est pas le Peuple de Dieu mais plutôt l’Église en tant qu’organisation. Dans tous les cas, elle est privée du sceau du Christ incarné, crucifié et ressuscité, elle se renferme en groupes d’élites, elle ne va pas réellement à la recherche de ceux qui sont loin, ni des immenses multitudes assoiffées du Christ. Il n’y a plus de ferveur évangélique, mais la fausse jouissance d’une autosatisfaction égocentrique.”
Certains diront sans doute que le pape met dos à dos les traditionalistes, très attachés à la liturgie, et les progressistes, qui ont transformé les structures de l’Eglise en un fonctionnalisme. Tel n’est pas mon avis. En effet, plus haut, au paragraphe 24, le pape écrit :
“L’évangélisation joyeuse se fait beauté dans la liturgie, dans l’exigence quotidienne de faire progresser le bien. L’Église évangélise et s’évangélise elle-même par la beauté de la liturgie, laquelle est aussi célébration de l’activité évangélisatrice et source d’une impulsion renouvelée à se donner.”
Voilà : le pape ne critique pas le soin apporté à la beauté de la liturgie, qui permet d’évangéliser. Il dénonce le “soin ostentatoire de la liturgie”. Je ne peux pas m’empêcher de penser aux papiers crépons, ballons, cubes préparées pendant des heures par des dames catéchistes pour soit-disant embellir la liturgie, ainsi qu’au déluge d’instruments de musique que l’on voit parfois dans les églises…
Enfin, un passage sur le rôle des évêques :
“L’évêque doit toujours favoriser la communion missionnaire dans son Église diocésaine en poursuivant l’idéal des premières communautés chrétiennes, dans lesquelles les croyants avaient un seul cœur et une seule âme (cf. Ac 4, 32). Par conséquent, parfois il se mettra devant pour indiquer la route et soutenir l’espérance du peuple, d’autres fois il sera simplement au milieu de tous dans une proximité simple et miséricordieuse, et en certaines circonstances il devra marcher derrière le peuple, pour aider ceux qui sont restés en arrière et – surtout – parce que le troupeau lui-même possède un odorat pour trouver de nouveaux chemins. Dans sa mission de favoriser une communion dynamique, ouverte et missionnaire, il devra stimuler et rechercher la maturation des organismes de participation proposés par le Code de droit Canonique et d’autres formes de dialogue pastoral, avec le désir d’écouter tout le monde, et non pas seulement quelques-uns, toujours prompts à lui faire des compliments. Mais l’objectif de ces processus participatifs ne sera pas principalement l’organisation ecclésiale, mais le rêve missionnaire d’arriver à tous.”
Que tout celà est bien dit. Sincèrement, je le pense moi aussi, mais ne saurais l’exprimer avec une telle clarté. Mais il est vrai, bien qu’ayant mon deuxième prénom qui soit François, je suis loin d’avoir l’étoffe et l’éclairage de l’Esprit-Saint de notre opiniatre et très fraternel pape.
Claude
Du modernisme à l’état pur ! Bravo !
Cela correspond exactement à la doctrine contenue dans l’encyclique “Pascendi” de saint Pie X (septembre 1907)!
Notre “pape” l’a bien assimilée !
Mais à l’envers, il a oublié que cette doctrine était condamnée !…
Ce n’est plus les fidèles qui reçoivent la Parole de Dieu et les directives de l’Eglise hiérarchique, c’est eux qui pilotent ensemble avec les quelques pasteurs !
C’est bien, seulement ce n’est pas la praxis de l’Eglise, ni sa Tradition pendant plus de 19 siècles…
Vous avez dit rupture ? ou schisme ?
Mais où se trouvent-elles ? Chez qui ?
In capite ?
Domine, salva nos, perimus !
Oui je suis obligé d’approuver et d’accorder mon adhésion à certaines déclarations fortes et dénuées d’ambiguïté.
Les évêques sont avant tout des grands pasteurs dont la mission est la sanctification du peuple par l’exercice de l’enseignement divin, la célébration de l’ensemble des sacrements et l’expansion de la charité. Autrement dit il ne s’agit pas de courir après les activités mondaines , telles les dîners “les réceptions” voyages et autres ……dîners nocturnes en bonne “compagnie”, mais au contraire réaliser le bien de l’ensemble des membres de cette famille, que constitue l’immense population des baptisés.
Les évêques ne doivent pas non plus se considérer comme les hauts fonctionnaires d’une administration gouvernementale que serait l’Eglise de Rome, mais s’attacher à la plus profonde sanctification des personnes , toutes catégories confondues, que la providence leur a confiées.
Mais également nous devons rejeter et condamner l’ensemble des aberrations liturgiques libérales qui ont prospéré jusqu’à maintenant . Que l’on en finisse avec ces cérémonies , ou les fidèles étaient obligés de prier au milieu des ballons et rubans de couleur, au son d’un orchestre de musique folk, quand ils n’étaient pas soumis au spectacle peu ragoutant de danses africaines féminines !
Il est grand temps de comprendre et de rappeler que la messe n’est pas et ne sera jamais une fête! c’est au contraire le renouvellement matériel d’un événement d’une particulière et haute gravité, en l’accomplissement du sacrifice au combien atroce de notre Seigneur pour la rédemption de nos péchés, c’est à dire l’acte fondateur de la sainte Eglise ou nous entrons par le baptême originel!
Nous devons prier instamment donc pour que l’ensemble des ces cérémonies particulièrement vulgaires et libérales reçoivent une juste mesure de totale interdiction , sur tous les évêchés du monde !
Il est du devoir du pape et de sa hiérarchie, de faire oeuvre de divin enseignement en insistant sur la nécessité des sentiments de pénitence, de contrition, d’humilité profonde, et de honte intime pour les péchés commis, qui doivent habiter le cœur de chacun des fidèles à la messe ! au moment bien sur de la consécration publique des saintes espèces! Voilà sur quoi aurait du insister le pape dans son message , même si il faut honnêtement reconnaître toute la pertinence de certaines déclarations de son texte ;
A l’heure actuelle, seule la sainte messe tridentine , de forme extraordinaire , garantit l’émergence d ‘un climat psychologique de très grande gravité, indispensable à la célébration digne des plus profonds mystères divins, accueillis avec immense sentiments de componction , car c’est justement le moment idéal, pour saisir à l’intime , toute l’étendue de notre misère morale et spirituelle.
Face à la matérialité colossale et redoutable du sacrifice du Christ fils de Dieu en croix, nous ne sommes que du néant !
Dans le cas contraire, et conformément au point de vue des modernistes, le jésus des évangiles ne serait plus qu’un petit agitateur de rue sans importance , ayant connu une fin misérable et calamiteuse, sommairement exécuté par l’administration romaine, à l’instigation de l’élite juive locale ! et il ne serait plus utile de franchir le seuil d’aucune nef !
Exhortation consternante dans sa haine des tradis et dans son amour aveugle de l’islam…..
Bonjour,
le Pape que nous avons-là, il faut écouter sa lettre, car il va faire le ménage et tout un !
Le prêtre ou l’Évêque, est avant tout un Chrétien et un laïc est aussi important. L’un comme l’autre, doit connaître sa Bible et sa Foi par le Cœur. Le prêtre doit se faire petit, un laïc doit être un vrai membre du corps du Christ et non pas se dire que seul le Prêtre ou l’Évêque peut parler de Dieu.
C’est le temps des laïcs et les prêtres-évêque n’ont aucune excuse de parce qu’ils ont été ordonné. Ils reçoivent certes un don Sacré et pourtant le Mariage l’est tout autant !
Vive LA NOUVELLE ÉVANGÉLISATION et LE CONCILE VATICAN II qui est une effusion du St-Esprit pour l’Église.
Que se soit en latin ou non, n’est-ce pas à Dieu de décider comment il veut son Église et comment il donne ses Charismes pour l’édification de tous ?
Merci d’avoir lu et bonne journée.
Simon.
Très bien pensé ce que dit notre frère abbe, bien que je ne puisse partager toute l’étendue de son idée.
1) Parce que les brebis de notre 21ème siècle ne veulent plus être qu’un troupeau dépourvu des facultés divines de penser et discerner.
2) Si l’on ne confiait tout qu’au clergé comme au temps de mon enfance où le catéchisme était enseigné par un prêtre du diocèse, ce ne serait plus possible maintenant en raison de la crise des vocations. La France, fille aînée de l’Eglise est devenue Terre de mission.
3) Il faudrait donc, si l’on pousse jusqu’au bout ke raisonnement de notre frère, faire venir plus de prêtres africains ou d’origine asiatique. Ceci au détriment des populations de leurs pays d’origine qui ont grand besoin elles aussi d’être évangélisées.
Claude
Je tiens ici à reformuler un commentaire au sujet de la notion de cléricalisme jugé excessif .
J’adhère pleinement à l’idée selon laquelle les fidèles baptisés et pratiquants , doivent participer activement à la vie de l’Eglise, et en particulier à celle de leur paroisse , pour le catéchisme des enfants , l’aide au curé, la protection et le soutien matériel des ou du lieu de culte.
Chacun des fidèles représente une richesse humaine sur laquelle la hiérarchie doit pouvoir compter et s’appuyer.
Cela dit l’Eglise , tout en s’affirmant comme une famille de baptisés dans le christ , et donc une communauté sacramentelle, constitue également un ordre hiérarchique, ou les curés , évêques et hauts membres de la curie romaine sont investis d’un pouvoir de décision et d’orientation irremplaçable .
Ce n’est donc pas à de simples fidèles, que l’on va demander de définir de manière infaillible les dogmes de notre foi !
C’est bien le devoir de l’évêque et du curé d’interdire telle forme de célébration jugée trop extravagante et indigne de la personne de notre Seigneur, ou au contraire définir les modalités du déroulement de telle procession religieuse, ou bien sur les fidèles de base auront par la suite un rôle prépondérant par leur ferveur et leur participation active.
La hiérarchie ecclésiastique doit donc d’en haut sanctifier les fidèles, tout en utilisant le maximum des ressources humaines que ces derniers ont à offrir, et en abandonnant jamais son propre pouvoir d’enseignement divin et de direction.
Par ailleurs dans le message du pape, je relève que ce dernier se préoccupe légitimement de la pénétration des valeurs chrétiennes dans la société et le monde politique gouvernant un pays.
Il s’agit là d’un soucis pontifical très pertinent auquel j’adhère moi même profondément . En cela le pape François se pose en contradiction par rapport à l’attitude de nos évêques français, dont la réserve et la timidité qu’ils ont démontrée au cours des événements sociétaux derniers, est littéralement abusive.
Au printemps derniers les meilleurs catholiques , sont montés en première ligne, face à la violence intolérable des flics politiques de M Gaz, sans recevoir le soutien moral de pratiquement aucun de nos évêques.
Le juste combat que mènent les catholiques contre l’ensemble de lois scélérates détruisant la société humaine, ne fut accueilli par nos évêques, avec une attitude de froideur et de silence assourdissant, au point même qu’aucun d’entre eux n’a prononcé de paroles de compassion envers les innocentes victimes de la répression.
J’estime que l’attitude des évêques français envers la politique de leur pays, n’est pas conforme avec la volonté pontificale du pape François, et que nous sommes en présence d’une situation de clivage psychologique insupportable !
Il semblerait ne pas s’agir de clivage psychologique, mais plutôt d’esprit de la Bête qui s’est infiltré dans les rouages les plus importants de l’Eglise.
En ce qui me concerne, je ne fais même plus confiance même a priori aux cardinaux; mais seulement aux papes et à la Congrégation de la Foi.
Claude
Salut,
Gaudet tu as raison, le Pape fait une très belle exhortation et surtout quand il dit d’ouvrir les portes de l’Église (avec un grand E) mais cela veut dire aussi d’ouvrir les paroisse et de dire aux gens que c’est leurs maisons aussi.
Je comprend aussi quand tu dis que par exemple le Pape est irréversible lorsque l’on proclame un dogme et aussi c’est Jésus lui-même qui a dit à Pierre: «Confirme tes frères» et encore «J’ai prié pour que ta foi ne défaille pas».
Les laïcs doivent tout de même avoir leurs places et ce dans tout ce à quoi ils sont appelés à faire. Tout le monde est appelé à la Sainteté et le Concile Vatican II l’a clairement dit.
Tant que c’est la Parole de Dieu qui est mise en action et qui est enseigné (au lieu de d’autres choses inutiles) nous pouvons être sûr que la volonté de Dieu sera faites.
Merci d’avoir lu et que Dieu vous Bénisse !
Simon.
l’évangélisation c’est très bien ;et après? que fait-on lorsque des exterminateurs arrivent,? en Centre Afrique un pays chrétiens est en train d’être exterminé qu’en pense le Pape? que faut-il faire?; il serait urgent de consoler les chrétiens
Il ne s’agirait pas de les consoler à l’instar de ce que la Vierge de Fatima nous demande de prier au Christ, aux suffrages des âmes du Purgatoire particulièrement délaissées. Mais plutôt d’arrêter d’être lâche et de se payer de mots. Il faut aller les défendre avec notre armée et nos soldats. Nous prétendons encore être une nation chrétienne. Alors démontrons-le.
Claude
Je souhaiterais poliment interpeller quelques personnes dont les commentaires m’ont quelque peu irrité. Dire que les affirmations du pape François sont du modernisme chimiquement pur me paraît on-ne-peut-plus excessif, et pour cause.
Avant d’expliquer pourquoi, je vais vous partager le fruit d’une expérience personnelle et que je ne suis pas le seul à avoir vécu. J’ai connu des tradis mais j’avoue avoir vite déchanté.
Après avoir redécouvert la miséricorde du Christ il y a douze ans, j’ai radicalement changé de vie et me suis engagé à fond dans l’évangélisation et j’ai actuellement la chance d’être plusieurs fois parrain de personnes ayant été païennes (pratiquantes) dont des voyantes, des libertins, des musulmans et ai participé à beaucoup de retour dans l’Église de personnes s’en étant éloigné.
Je ne désire pas me glorifier mais rendre gloire à Celui qui rend tout possible par son amour et sa miséricorde. Or, c’est de cela qu’il s’agit. Le fait d’avoir pu toucher des personnes aussi éloignées tient du fait que j’ai toujours accueilli chacun sans le juger et sans non plus faire l’économie de la vérité telle que nous l’enseigne l’Église. Ceci dit, j’ai toujours respecté une certaine temporalité dans la capacité de réception des personnes auxquelles j’ai eu à faire et ce, dans le but de ne pas briser les plus fragiles d’entre elles, selon ce que nous enseigne Jésus dans les évangiles.
J’ai en parallèle grandement conscience d’être indigne et que mon chemin de sanctification n’est qu’à ses balbutiements. C’est pourquoi je me confie à la miséricorde de Dieu qui sonde les cœurs et les reins mais aussi à vos prières.
J’en reviens à mon expérience auprès des tradis. Eh bien, j’ai cru eu avoir à faire à une réactualisation des pharisiens que Jésus décriait tant. Oh non pas qu’il faisait mal les choses, au contraire ! Rien à redire sur la liturgie et la morale (essentielle car critère objectif pour vivre la grâce) mais sur l’esprit qui animait ces personnes. Aucune douceur dans le regard, plus en train d’épier si les choses sont faites selon « la norme » : as-tu bien jeûné avant et après ta communion ? Fais-tu bien ceci comme cela ? Avec toujours une bonne petite leçon de morale à la clé.
Le propre de l’amour divin, c’est, si je ne m’abuse, la gratuité du don. Et nous, pauvres pécheurs, sommes appelés à cette divine imitation qui, même au Ciel ne sera jamais acquise, car on ne possède pas ce qui est donné. Or qu’ai-je observé ? Des personnes ayant une image de Dieu plus proche de Zeus que de la Sainte Trinité. Toujours en train de faire des choses pour s’attirer des bonnes grâces ou éviter l’enfer ou raccourcir le séjour ou purgatoire, tant bien qu’ils vivaient dans une peur permanente laissant peu de place à une vraie générosité vis-à-vis de Dieu et de son prochain. Je vous jure que je n’exagère rien ! La preuve ce sont les fruits et les leur n’étaient pas ceux de l’Esprit.
Je vous passe toutes les méchancetés gratuites que j’ai eues à subir de la part de ces personnes que je ne déteste pas, loin de là. Je les bénis de tout mon cœur et si le Seigneur les bénit comme ils m’ont maudit alors ils vont monter au Ciel comme des bouchons de champagne ou même nous faire des assomptions….
Si je passe la modération, je vous envoie la suite de « pourquoi ce n’est pas du modernisme »