Hier, Bill Donohue, président de la Catholic League, a fait paraître un communiqué qui en dit long sur la culture cathophobe et anti prêtre qui règne aux États-Unis… Le goût du lucre n’est pas étranger à tant de fausses dénonciations de prêtres, mais le laïcisme qui progresse aux États-Unis – comme en France… – fait feu de tout bois.
Deux informations dans la presse de ce jour démontrent avec toute évidence qu’aucun prêtre catholique n’est à l’abri. N’importe qui peut accuser un prêtre d’agression, qu’importe à quand elle remonte, et s’en sortir impunément.
Le Père John P. Paul a démissionné de ses fonctions de curé de la paroisse Our Lady of Calvary de Philadelphie [Pennsylvanie]. Il a démissionné a cause du stress émotionnel qu’il a éprouvé. Pendant tout le temps où il fut prêtre, aucune accusation n’a jamais été portée contre lui (il fut ordonné en 1972). Mais voici qu’à l’improviste, il est accusé d’avoir abusé de deux garçons en 1968 quand il était séminariste. C’est drôle que les deux supposées victimes aient attendu 45 ans pour porter plainte, et les deux en même temps, pas moins.
La police a été contactée mais en raison du délai de prescription dépassé, l’affaire a été abandonnée. Toutefois, l’archidiocèse de Philadelphie poursuit ses investigations sur le Père Paul. Si le Père Paul avait été M. Paul, enseignant dans une école publique, et qu’il ait été accusé d’avoir violé un mineur en juin dernier à la fin de l’année scolaire, le délai de prescription aurait été dépassé (les plaignants disposent de 90 jours pour déposer plainte contre un enseignant d’une école publique). En outre, personne n’aurait mené des investigations sur lui. Mais s’agissant du Père Paul, et même si ces agressions sexuelles alléguées remontent à l’année où le Rév. Martin Luther King et le sénateur Bobby Kennedy furent abattus, ce n’est pas trop tard pour se le faire. Il n’est jamais trop tard pour se faire un prêtre.
La semaine dernière, à Chicago, un prêtre de 73 ans a été racketté pour de l’argent par les deux mêmes compères qui l’avaient au préalable bousculé. Ce coup-là, le prêtre a dit non. « On va dire que tu nous a touchés. Lis les journaux. Ils nous croiront » lui ont-ils dit. C’est triste mais c’est vrai. Grâce à notre culture anti prêtre, alimentée par des gens comme Bill Maher, tout prêtre est considéré comme suspect. Aucun n’est à l’abri.
Priez pour le Père Paul.
Pour avoir de la lumière dans le ciel de Jérusalem, il faut du feu sur la terre. Bonne chance aux prêtres abuseurs à la résurrection en chair et en os à Babylone.
Plus je lis plus je regarde ce qui se passe dans le monde plus j’ai le sentiment que nous vivons les jours que Saint Nylus a prophétisés et j’attends avec confiance que la justice de DIEU vienne sur nous.
non seulement la religion souffre mais la justice va mal dans ce pays. En France il ne suffit pas d’accuser il faut des preuves (et pas des témoins achetés). Mais aux USA un procès de victimes sexuelles peut rapporter gros aux plaignants il y a des officines spécialisées dans ce genre de procès qui rapportent au moins 50% des sommes attribuées aux plaignants du racket et il est recommandé à l’accusé de plaider coupable sinon il ressort ruiné: le déshonneur sans fondement ou la ruine . Il faut soutenir les prêtres jusqu’à ce que ce pays révise sa justice
Melmiesse au-temps demander a Satan de planter des roses en enfer.