Aleteia évoque l’étude qui vient de paraître dans la revue Catholic Social Science Review qui indique que les fidèles qui assistent à la messe traditionnelle manifestent une foi plus forte en la Présence réelle. Du simple point de vue des simples fidèles, ce constat a été malheureusement fait depuis des années.
Selon une étude publiée le 24 septembre dans la « Catholic Social Science Review », les catholiques assistant à la messe selon le missel de 1962 manifestent une foi plus forte en la Présence réelle que ceux fréquentant la forme ordinaire. Les gestes et symboles traditionnels – communion sur la langue, génuflexion, liturgie tridentine – s’avèrent des soutiens déterminants à cette foi. Ces résultats confirment l’impact des pratiques liturgiques sur l’adhésion au mystère eucharistique.
Les fidèles qui assistent à la messe en forme extraordinaire (plus précisément, selon le missel de 1962) affichent une croyance nettement plus forte en la Présence réelle que ceux qui ne participent qu’à la forme ordinaire : c’est ce qu’affirme la professeur Natalie A. Lindemann dans une étude publiée le 24 septembre 2025, dans la Catholic Social Science Review. Cette revue académique américaine fondée en 1996 est publiée par la Society of Catholic Social Scientists. Elle propose chaque année des articles, débats et analyses sur des sujets de sciences sociales à la lumière de la doctrine sociale de l’Église catholique. Ses textes, soumis à l’évaluation par les pairs, sont rédigés principalement par des universitaires et chercheurs spécialisés.