L’abbaye Sainte-Marie de Lagrasse poursuit ses grands travaux avec le relèvement du transept qui était en ruine depuis la Révolution
En cette rentrée, le travail a repris autour du transept, afin d’achever la préparation du chantier. Deux étapes marquantes ont donné une autre dimension à la zone de travaux.
D’abord, un mur de placo a été élevé entre le chœur et le bas-côté sud. En effet, les ouvriers de RBMH vont rapidement faire tomber le mur qui isole le bras sud du reste de l’église. En l’état, cela aurait mis notre chœur en contact direct avec le transept en ruine et sa restauration. Impensable, pour nous qui nous réunissons sept fois par jour pour prier l’Office et la messe ! Une nouvelle séparation, temporaire, était donc nécessaire. Aussi, après avoir déplacé le tableau électrique pour le garder accessible, un mur est monté en conséquence : deux fois deux épaisseurs de placo, enserrant une épaisseur de laine de verre. Il assure ainsi une isolation visuelle, sonore et thermique entre le chantier et le reste de l’église. Il vient aussi mettre l’ensemble de la communauté un peu plus au contact des ces travaux !
D’abord, un mur de placo a été élevé entre le chœur et le bas-côté sud. En effet, les ouvriers de RBMH vont rapidement faire tomber le mur qui isole le bras sud du reste de l’église. En l’état, cela aurait mis notre chœur en contact direct avec le transept en ruine et sa restauration. Impensable, pour nous qui nous réunissons sept fois par jour pour prier l’Office et la messe ! Une nouvelle séparation, temporaire, était donc nécessaire. Aussi, après avoir déplacé le tableau électrique pour le garder accessible, un mur est monté en conséquence : deux fois deux épaisseurs de placo, enserrant une épaisseur de laine de verre. Il assure ainsi une isolation visuelle, sonore et thermique entre le chantier et le reste de l’église. Il vient aussi mettre l’ensemble de la communauté un peu plus au contact des ces travaux !
Deuxième étape importante de la rentrée : la dalle de béton. Elle permet d’avoir un sol propre plutôt que de subir la boue de l’hiver. Elle permet aussi un sol plat sur lequel poser les échafaudages en toute sécurité. Mais avant cette dalle, il a fallu poser les réseaux de gaines en prévision des besoins électriques, de l’éclairage et de la sonorisation. Une fois ces gaines sécurisées, place à la dalle. Plusieurs toupies sont venues déverser leur contenu au pied du clocher. Petit à petit, le sol du transept reprend une vingtaine de centimètres de hauteur, tandis que les ouvrier étalent puis lissent le béton.
