Dans l’article publié par La Croix sur le Pape François et la question “tradie”, il y a ce propos du journaliste qui analyse la position du Pape François: il mériterait discussion – et certainement éclaircissement:
Pour lui ce qui compte c’est la mission de l’Eglise dans les périphéries, auprès des plus pauvres. Avant la sacramentalité
Faut-il en déduire une primauté de l’action sur le culte et l’adoration à Dieu ? Pourtant, la mission a comme but ultime Dieu. En quoi devrait-elle être opposée à la sacramentalité ? Enfin, quel est le sens de la “mission” dans certains cénacles ecclésiaux ?
L’action avant la contemplation ?
Quousque Francisce abutere patientiam nostram?
J’ai aimé la position de Benoit XVI je ne comprend pas celle de François. Peut il y avoir unité des chrétiens (je préfère dialogue à unité) et exclusion de nos frères tradis. C’est aberrant, ça n’a pas de sens. François et ses conseillers font fausse route, revenons à la position de paix de Benoit XVI, qui a été un grand pape, mais méconnu
Il y a quelque chose d’indigne et de choquant dans ses propos.
Les gens qui souffrent et les pauvres ont peut-être plus le sens du sacré que lui.
Quant à la mission de l’Eglise depuis que les conciliaires s’en occupent,
la perte de la foi, veiller à maintenir nos enfants dans l’ignorance, interdire la liturgie, le catéchisme et la messe traditionnelle catholiques et j’en passe,
sont la seule chose qui compte.
L’Eglise, les pauvres, les gens qui souffrent et ne connaissent pas le Christ ont besoin de prêtres missionnaires comme Mgr Marcel Lefebvre et d’évêques catholiques comme lui.
L’Eglise est malade de tous ces parasites hérétiques conciliaires.