Les divorces et séparations familiales coûtent chaque année quelque 41,7 milliards de livres (près de 46 milliards d’euros) aux contribuables, selon une étude de la « Relationships Foundation » citée par LifeSite. Les ménages éclatés aboutissent à la création de deux nouveaux foyers qui bénéficient de crédit d’impôts et de réductions fiscales (12,38 milliards), d’aides au logement supplémentaires (4,27 milliards) et de subventions sociales et de santé (13,68 milliards de livres). L’ensemble représente quelque 1.350 livres par an et par contribuable.
La Fondation tient compte que les dislocations des foyers ont des conséquences néfastes sur la santé et sur le pouvoir d’achat que la société est dans une certaine mesure contrainte de compenser. Elle précise qu’elle ne peut évidemment tenir compte du coût humain des séparations pour ceux qui en sont les victimes, « incalculables ».
Il faudrait sans doute y ajouter les coûts indirects créés pour les familles stables qui subissent la pression sur le marché de l’immobilier par la demande accrue de logements de la part des foyers disloqués.