|
Mgr Juan Antonio Reig Pla |
Toutes les commissions épiscopales – fussent-elles des sous-commissions – ne sont pas obligatoirement « beaucoup plus de morts que la Guerre civile : un holocauste silencieux ».
adeptes de la langue de buis, ainsi que vient de le démontrer le président d’une entre elles en Espagne, celle qui se charge des questions « Famille et Vie ». Il est vrai que son président, Mgr Juan Antonio Reig Pla, a depuis longtemps tenu sur l’avortement un langage parfaitement clair. A l’occasion de son appel à Journée mariale pour la famille et la vie organisée fin mars par son diocèse d’Alcala de Henares et ceux, voisins, de Madrid et Getafe, il a déclaré que l’avortement a causé en Espagne
Il commentait l’expression horrifiée du pape François apprenant que l’Espagne compte plus de 100.000 avortements par an.
« La liberté de la femme, en tant que dynamisme intelligent, est une liberté en vue du don et on ne doit pas la corrompre en affirmant de manière despotique le droit de choisir, le droit d’en finie avec l’enfant engendré », a-t-il déclaré, déplorant que la femme soit « dévaluée en la positionnant comme championne de la destruction de la vie ». Pas un centime du contribuable ne doit servir, jamais, « à détruire la vie humaine », a-t-il dit.
Le prélat a souligné qu’il fallait séparer la question du droit à la vie « du débat politique et des luttes partisanes » : non pas parce qu’il ne faudrait pas défendre la vie sur le plan politique, mais parce que la question, précisément, ne peut faire l’objet de débat. Il a rappelé qu’il s’agit d’un « droit pré-politique, antérieur à l’Etat », que toute législation doit garantir.
Voilà un langage qu’on n’entend plus guère, puisque même les plus convaincus des défenseurs de l’enfant à naître et de toute vie humaine innocente insistent souvent sur la nécessité de porter ces « débats » dans la sphère publique. S’il est vrai qu’il faut tout faire pour convaincre, persuader, arriver à attirer vers la vérité ceux qui se trompent, de mauvaise foi ou non, et avancer donc des arguments, objectivement le respect de la vie n’est pas sujet à débat car le débat suppose que des points de vue différents soient admissibles. Et donc que des compromissions puissent être envisageables.
Défendre la vie, c’est bien affirmer un interdit fondamental : « Tu ne tueras pas l’innocent. » Comme toutes les meilleures lois, elle est courte, lapidaire, et le principe qu’elle pose est d’une richesse qui lui permet d’éclairer les questions apparemment les plus complexes.
Faisant les comptes, Mgr Reig Pla a souligné que depuis la légalisation de l’« interruption volontaire de la grossesse » en Espagne, en 1985, deux millions d’enfants à naître ont été avortés.
Que faire ? Puisque le pape François demande que l’on sorte dans les rues, avec un regard de miséricorde, Mgr Reig Pla a expliqué que la Journée mariale visait à opérer une « révolution des consciences », pour que tous les participants prient pour la famille et pour le respect de « toute vie humaine depuis sa conception jusqu’à la mort naturelle ».
Il a également souhaité qu’en Espagne et dans tout l’Occident on sache promouvoir une culture de respect pour toute vie humaine ; dans son pays, il verrait bien la création d’un groupe pro-vie dans chaque paroisse afin d’offrir aux femmes enceintes une « aide qui ne les juge pas ».
• Voulez-vous être tenu au courant des informations originales paraissant sur ce blog ? Abonnez-vous gratuitement à la lettre d’informations. Vous recevrez au maximum un courriel par jour. S’abonner
© leblogdejeannesmits
L’avortement, un holocauste silencieux!
Pourquoi certains catholiques sont-ils pour l’avortement? Cela nous permet d’éliminer nos obligations en regard d’une certaine irresponsabilité de nos filles, de nos propres erreurs en tant qu’homme envers une autre femme et plus…
C’est un constat et c’est malheureux, car nous cherchons bien souvent à défendre un membre de notre famille. C’est aussi pour justifier la conduite de l’un de nos proches contre nos voisins et nous tombons dans le même piège en regard des homosexuels, lesbiennes et transgenres.
Pour l’euthanasie, nous avons peur de la souffrance et l’on est même rendu en Belgique à éliminer certains handicapés tout comme l’holocauste! Oui, nous avons peur de la souffrance comme le Christ s’est donné pour nous. Dans l’ensemble, plusieurs ne comprennent pas le véritable sens du sacrifice de la Croix pour les uns comme pour tous les autres!
L’illusion provient d’être le maître de son corps et nous conduit inexorablement vers la fourberie de nos philosophes et des théoriciens en tous genres.
C’est vrai que nous sommes responsables de notre corps et aussi, de celui des autres. Si l’on se croit maître de son corps, il serait bon de visiter un cimetière pour en constater la réalité!
Il ne s’agit pas de juger et de condamner radicalement, mais il faut de rappeler que nous sommes libres et l’Évangile dit : tu aimeras l’un et tu haïras l’autre!
Mgr Juan Antonio Reig Pla, que la Sainte Trinité vous entende et que les avortements s’arrête. L’avortement a été créé pour qu’il y est moin de chrétiens donc détruire le Christianisme pour mieux formatée les population.
Mgr Juan Antonio Reig Pla soyez béni!